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"Le coq a gagné", a jubilé Me Marc Muller, qui s'est présenté, non sans humour, comme l'avocat du gallinacé. "Les plaignants ont été déboutés de leur argumentation qui consistait à souligner la nuisance du coq et ils ont été condamnés à payer 400 euros au titre des frais de procédure". "C'est un jugement logique, de bon sens et de tolérance", a-t-il encore commenté.
"D'une certaine manière, le problème du coq avait disparu lorsque je l'avais plaidé puisque, pendant la procédure, le voisin avait mis le coq dans une niche", a concédé l'avocat des plaignants, Me Thomas Grimal. "Mes clients avaient reconnu que cela étouffait le chant du coq", a-t-il encore indiqué, soulignant qu'ils avaient tout de même réclamé -- vainement -- des dommages et intérêts pour les nuisances subies depuis l'installation du coq.
"Jusque là, le coq n'avait de nom", a indiqué Me Muller. "Désormais il s'appellera Victoire, comme l'ont décidé ses propriétaires".
Bonjour,
Ce coq fait beaucoup parler de lui,mais personne n'a de compassion pour ces personnes qui sont réveillées à 3 h du matin,sans possibilité de se rendormir. QUI accepterait cette situation, priver une personne de sommeil est une méthode de torture, hélas bien connue. L'on ne parle pas du propriétaire qui a pignon sur rue, se sert de son coq nain pour empoisonner la vie de ses voisins,et de plus les ridiculise, ce fait ressemble à un lynchage des pauvres victimes.QUI PEUT APPROUVER CELA.l'être humain est bien minable et cruel.Attention peut-être demain se sera vous qui serez lynché. Michel
Rédigé par : GALLE | 24 août 2008 à 09:14